J'ai une petite série de dessins en noir et blanc à l'encre de chine sur papier, format 30x40 environ . Je les ai scannés par p'tits bouts, pas facile à prendre en photo sans les déformer !

Ce sont mes "femmes-coquillages", lors de mes inspirations marines et crustacées.

Voilà la première et si vous êtes d'accord, je re-publierai les zôtres. Si vous êtes pas d'accord, je vous passerai une série de photos sur la fabrication des fourchettes en aluminium dans une usine de Tchétchénie occidentale.

Comme çà n'a pas eu l'air de vous déplaire, je continue ma petite expo !

J'avais fait toute une série de femmes-fleurs, toujours au crayons de couleurs sur papier. J'en ai vendu ou offert plusieurs et comme un andouille j'les ai pas prises en photo...

Donc vous pourrez juste voir celles que j'ai encore et que j'ai pu mettre dans la p'tite boîte ! Dont celle-ci, sur papier trucmuche machin-chose, format 40x60 et des broutilles...

Les barcanes, Ksar Aoutich, M'harech

Les barcanes sont des petites dunes en forme de croissant, qui se forment et se déplacent avec le vent. Quelques fois elles s'accumulent sur la piste ou même sur la route et barrent carrément le passage car il n'est pas facile de les escalader à cause de leur côté abrupt.

On a donc dû partir carrément hors-piste pour traverser l'oued Gheriss, soleil couchant en pleine poire... et finir par retrouver notre piste près d'une heure plus tard ! Le reste de notre chemin s'est fait en pleine nuit, pour finir par arriver à M'harech...

Ba Hallou, la cité perdue

Ba Hallou, c'est un grand village tout en pierres, construit sur une butte en plein désert près de l'oued Gheriss. Il a été abandonné il y a environ 300 ans, à cause d'une énorme crue de l'oued qui a formé des marécages et créé une monstrueuse invasion de moustiques ! Du moins, c'est ce qui se dit...

Quand on arrive là, c'est magique... perdus au milieu de rien, on essaie d'imaginer la vie des gens à l'époque, sans voitures, sans ville à proximité...

Le canard cancane avec sa compagne la cane qui ricane devant sa canne.

Alors pourquoi le canard a-t-il une cane, me demanderez-vous avec un juste titre ?

Parce que le canard boîte. On l’appelle le canard boiteux.

Mais est-ce une raison pour mettre le canard en boîte avec sa cane ? Non, car la boîte est trop petite pour contenir les deux. Et dans ce cas, la cane hors de la boîte boiterait sans la canne du canard en boîte, ce qui serait évidemment fâcheux.

Le canard a l’orange.

Mais l’orange appartient-elle réellement au canard, ou est-ce le canard qui appartient à l’orange ? Les scientifiques ne savent plus à quel sein se vouer, d’autant que les canes n’ont pas de seins, ce qui est regrettable pour le canard.

Les petits canards sont moches. On les appelle les vilains petits canards.

Les gros canards sont gros. On les appelle viens dans mes bras mon gros canard.

Ne confondons pas le canard avec le connard. L’erreur peut venir du fait que comme le canard a sa cane, le connard a sa conne.

Mais la comparaison s’arrête là, comme le poisson. On peut d’ailleurs constater que les poissons d’eau douce ont beaucoup plus d’arêtes que les poissons de mer.

Mais arrêtons avec les arêtes et revenons à nos vilains petits connards. Canards, pardon.

Le canard ne sait pas lire mais se lit. On notera que les lectures trouvées sur le canard  traitent souvent de la vie des connards, ce qui ne manque pas d’un certain intérêt.

En dépit de la légende fort répandue, le canard n’est pas en plastique.

Sauf quand il est gonflable. On l’appelle alors bouée à tête de canard. L’avantage du canard gonflable est qu’on peut le dégonfler à tout moment pour le ranger dans un placard.

Contrairement au connard, qui lui ne se dégonfle pas pour être mis au placard.

Le canard est un animal attachant qu’on peut cependant détacher. On l’appelle alors canard wc. C’est le propre du canard, ou du moins le canard propre.

Comme l’automobile, le canard fait coin-coin.

La semaine prochaine, nous étudierons les amours contre nature entre Donald le canard et Mercedes l’automobile perverse.