Et puisqu'on est dans les peintureries, voici que voilà mon dessin le plus récent (2015). Un double portrait de Françoise et Minik, que j'ai réalisé sur une envie soudaine et incontrôlable... ben ouais, ça fait quelques années que j'flemmardais question dessin et là, j'ai eu envie de faire ça. Alors devinez ? Je l'ai fait !

C'est un pastel sur papier bidule-extra-spécial-pastel, environ à peu près 50x40.

Et voilà qui va terminer ma rubrique "peintureries"... pour le moment !

... de l'époque où j'étais graphiste publicitaire. J'avais fait ce dessin pour illustrer les sacs d'un magasin qui s'appelait devinez comment ?... Chewing-gum ! Bravo vous avez trouvé ! 

L'original est aux crayons de couleurs sur papier, dans les 40x60 cm, que voici, que voilà:

Voilà un bon moment que j'vous avais pas passé d'exposé scientifique sur les z'animaux... donc, en voici un particulièrement intéressant sur un petit z'animal attachant et primesautier : l'artichaut.

L’artichaut a un cœur et une barbe.

C’est donc un animal coeuru et barbu, ce qui est exceptionnel.

Si vous possédez un artichaut, vous pouvez l’effeuiller. C’est donc également une marguerite, mais en moins joli.

Lorsque l’œuf d’artichaut éclot, le petit artichaut apparaît, encore tiède du sein oeufernel. C’est un petit architiède qui va alors gambader joyeusement dans vos plates-bandes au risque de se faire punir, ce qui peut jeter un froid. C’est alors un artifroid.

L’artichaut possède de nombreuses feuilles assez dures, on dit qu’il est dur de la feuille.

Si vous effeuillez l’artichaut, il ne se passe rien, contrairement à la marguerite qui vous donne la température amoureuse pour la semaine à venir.

Pourtant nous avons vu que l’artichaut à un cœur, mais il est dur.

Ce qui permet d’affirmer qu’il est dur de la feuille et dur du cœur, mais on s’en fout complètement.

Si on chauffe un artichaut, il devient archi-chaud, si chaud qu’il nous chaut de nous chauffer à sa chaleur sans échauffourée, même étant chauve ou chauvin.

L’artichaut ne sait ni marcher, ni courir. C’est regrettable, car il ne peut prendre son envol sans élan.

La légende populaire affirme pourtant que les soirs de pleine lune les artichauts volent bas, ce qui sous-entend qu’habituellement ils volent au vent.

Histoire de parler d'ôt chose que ce dont duquel on causait, voilà une peinture que j'avais faite en milleneufcentquatrevingtdix et en acrylique sur bois (90x70 cm à peu près exactement).

A l'époque j'avais l'intention de commencer une série dans cet esprit, et j'ai donc commencé. Mais j'ai oublié de continuer la suite (par exemple une nana en burqa devant une mosquée).

Pour ceux qui veulent tout savoir, la scène se passe devant l'église Saint Michel à Dijon...

Un peu provoc ? (j'ai cru entendre une réflexion dans ce sens ?) Mais non, mais non !

Dans les années 70 on avait déjà des chats. Evidemment, c'était pas encore avec Françoise (elle avait 8 ans !) (lol)...

Donc, on partait souvent en balade et on emmenait les chats partout avec nous. Ils s'appelaient Clope (le mâle) et Sibiche (la femelle) et figurez-vous qu'ils n'hésitaient pas à nager et même à plonger quand on campait au bord d'une rivière.

Ci-dessous z'allez voir des photos prises avec notre vieil Instamatic, elles ne sont pas très bonnes, mais elles ont l'avantage d'exister !