Ceusses qui connaissent mon blog depuis longtemps se souviennent sûrement que je les ai souvent bassinés avec les Seychelles où j'suis allé plusieurs fois, j'vous laisse deviner pourquoi...

Alors donc voili voilou, toujours dans la catégorie des photos que j'aime bien, kèkes z'images de là-bas de quand qu'on y était...

Puisqu'on était précédemment z'au Maroc, y a qu'à y rester encore un chouia.

Cette fois vous allez voir des photos différentes de la dernière fois, ce qui me semble particulièrement adapté dans la mesure où j'vais quand même pas vous passer chaque fois les mêmes, vous risqueriez de vous lasser.

Donc voilà des images d'autres choses, que j'vous livre en vrac...

Z'allez dire "ah ça y est il nous recolle des photos du Maroc".

Et vous aurez raison. Et devinez pourquoi je fais ça ? C'est parce que j'en ai des tas que j'aime bien et quand j'en aurai plus j'en aurai encore...

Dans celles d'aujourd'hui, vous pourrez voir (ou revoir) des trucs particulièrement particuliers et des choses étonnamment étonnantes.

C'est vous dire si c'est bien !

Aujourd'hui j'me suis dit comme ça: "tiens, ça fait un moment que j'ai pas passé des z'images que j'aime bien".

Et devinez c'que j'me suis répondu ? "Ah voui, bonne idée". 

C'est fou, hein !

Et alors voilà les z'images en question, qui se passaient en Thaïlande, exactement à l'époque où on y était...

Allez hop, une petite fiche animalière scientifique, afin de continuer à vous instructionner...

Suivez le guide...

Le lion de l’Atlas (en latin lionus atlasus) est un animal tellement en voie de disparition qu’il a carrément disparu, ce qui est regrettable.

Doit-on en conclure qu’il est impossible de l’étudier ? Que nenni, car la légende raconte que c’était un lion tellement gros qu’il était carrément plus gros que les autres. Ce qui n’est pas rassurant avouons-le, car un animal aussi gros ne peut tout de même pas se cacher indéfiniment et pour se nourrir il peut s’attaquer à nos fils et nos compagnes, qui n’y sont pourtant pour rien.

Le lion de l’Atlas vivait dans l’Atlas, mais pas celui du Petit Larousse. Pour s’assurer de cela, procédons à une expérience scientifique :

- Prenons un lion de l’Atlas et demandons-lui où il vit. Dans la plupart des cas il ouvrira des yeux étonnés pendant une seconde avant de vous dévorer.

- Prenons-en donc un autre et demandons-lui autre chose, par exemple que pensez-vous de l’évolution exponentielle de la politique humanitaire au sein du repeuplement de gauche dans le cas où il tendrait à pencher vers la droite peu à peu ? Dans la plupart des cas il ouvrira des yeux étonnés pendant une seconde avant de vous dévorer également.

Doit-on en conclure que le lion de l’Atlas est politiquement incorrect malgré sa disparition ? Que nenni, car il n’est pas prouvé qu’il était inscrit sur les bulletins de vote.

La femelle du lion de l’Atlas est la lionne de l’Atlas, bien qu’elle ait également disparu. L’union du lion et de la lionne de l’Atlas donne des lionceaux de l’Atlas, ayant également disparu. Ce qui tendrait à prouver que cet exposé est nul et sans fondement.

Nous étudierons donc prochainement la sole meunière, qui loin d’avoir disparu se retrouve régulièrement dans nos assiettes. Merci de votre attention.