• La Cathédrale, le gîte, Tilouguite, Bin El Ouidane, piste vers Tagleft

     

    A force d'aller en direction de la "Cathédrale", on finit par y arriver, ce qui paraît logique.

    J'sais pas si vous vous en rappelez, je vous en ai déjà parlé de ce gros rocher à la forme particulière. Donc si vous l'avez déjà vu et que ça vous embête de le revoir encore, vous pouvez prendre un gros feutre noir et barbouiller les images qui vous gênent sur votre écran. Ou alors, vous les découpez au cutter et vous les mettez dans la corbeille à papier. Sinon, vous pouvez aussi tourner la page.

    Ou alors vous regardez tout. C'est comme vous voulez.

     


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  • Demnate, Ait M'hamed

     

    Après une nuit confortable passée à l'auberge, nous voilà prêts à repartir pour de nouvelles z'aventures dans la direction de là où on va.

    Vos z'yeux z'éblouis vont pouvoir découvrir successivement des gens, des ânes, des mulets, des pinèdes avec des pins dedans, des villages avec des maisons dedans et des buggies avec nous dedans... 

     


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  • Timtdit, vallée de la Tessaout, pont naturel d'Imin Ifri, gîte Aghbalou

     

    ... ça vous ferait (peut-être) plaisir si j'vous racontais un de nos circuits marocains. Si ça vous fait pas plaisir dites-le moi, j'vous passerai à la place le mode d'emploi de notre nouvelle machine à laver (c'est intéressant, avec le filtre qu'il faut nettoyer, la lessive anti-couleurs, l'adoucissant, l'anti-calcaire et tout ça).

    Donc, c'est un circuit qu'on a fait en 2012 avec des clients super sympas, qui venaient pour la troisième fois. Un grand circuit de plusieurs jours en buggy, que nos amis Damienne et Christian ont eu envie de faire avec nous.

    Et devinez quoi ? On l'a fait, suivez-nous...

     


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  • Alors voilà, avant de vous montrer les photos, je vous explique tout. Sauf si vous aimez pas lire, vous pouvez sauter le blabla et juste regarder les z'images.

     

    Quad dans les dunes, picnic sous les tamaris, pain de sable

     

    Donc, vous allez voir des trucs du genre camion empaillé et palmeraie pleine de palmiers. Y a aussi un troupeau de chevals qui ressemblent à des chevaux, sauf qu'ils ont un cavalier dessus.

    N'ensuite, vous allez nous voir sur des quads, avec des copains. Les quads c'est des trucs rouges (sauf quand ils sont d'une autre couleur) à 4 pattes en forme de roues. On peut s'asseoir dessus et faire vroum-vroum et hop, ça vous emmène en haut des dunes. Et ça j'te dis pas comme c'est super régalatoire...

    Et le pain de sable. C'est régalatoire ça aussi. C'est pas du pain fait avec du sable hein ! C'est du pain où tu mets des trucs bons dedans, genre viande hachée, légumes et épices et tu le fais cuire dans le sable. D'abord il faut faire un bon feu, pour avoir des braises bien braiseuses. Ensuite tu fais un trou dans le sable, tu mets des beaux cailloux au fond et les braises sur les cailloux pour bien les chauffer. Après tu pousses les braises sur les côtés, tu mets ton pain sur les cailloux brûlants et tu recouvres le tout avec du sable.

    Et quand tu sais que c'est cuit ( ben ouais, si c'est pas cuit c'est pas terrible), tu sors le pain, tu le brosses un peu pour enlever le sable et tu le sers à tes convives z'ébahis et émerveillés par tant de savoir.

     


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  • J'vais pas vous faire attendre plus longtemps pour la suite de ma fabuleuse histoire, sinon z'allez avoir oublié le début... alors voilà:

     

    RESUME DE L’EPISODE PRÉCÉDENT :

    Le maire voudrait bien savoir si la future mariée va se décider à dire oui.

     

    « Ben oui, fa fait trois fois que vous me le demandez, fa commenfe à bien faire ! » répondit la jeune femme.

    « Bien, dit le Maire. Monsieur le commissaire Nouaboire, voulez-vous prendre pour épouse la jeune Gudule Crapouflard ici présente ? »

    « Attendez un instant s’il-vous-plaît » dit-il avant de se pencher discrètement vers sa future épouse : « Je vois une grosse bosse sur ta jambe. C’est quoi ? »

    « Ah, fa ? F’est rien qu’un rouleau de fopalin que v’avais accroffé à ma varretière de la mariée ! Ve l’avais oublié, f’est rigolo ! »

    « En effet c’est rigolo », dit-il en lui caressant amoureusement la joue, car leur amour était toujours resté intact depuis le jour de leur rencontre, hier soir.

     

    Car l’intrépide commissaire, qui enquêtait sur une enquête de vol de tableaux, avait rencontré la jeune Gudule la veille, à l’inauguration d’une exposition à la galerie de peinture Lure.

    Elle lui avait immédiatement tapé dans l’œil, avec le coude, en se retournant brusquement quand il lui avait murmuré : « Mademoiselle je vous aime, surtout vue de dos. Vue de face c’est moins évident avec les dents qui manquent, mais dans l’ensemble ça ira. Voulez-vous m’épouser ? »

    « Oh oui, ve fuis d’accord, vous v’êtes une lévende fur les blogs, mon commiffaire ve vous v’aime auffi ! » lui répondit-elle en postillonnant gracieusement.

    Notre commissaire continua ensuite son enquête et s’aperçut que tous les tableaux exposés n’avaient plus que le cadre, car les toiles avaient été découpées habilement.

     « Je reviendrai enquêter après notre mariage, se dit-il en aparté à lui-même, car ceci me semble louche ».

     

    Ils sortirent de la Mairie sous les applaudissements des invités et c’est à ce moment que le commissaire constata une certaine raideur dans la démarche de son épouse. Intrigué, il la regardait descendre malhabilement les marches du perron, quand soudain un rouleau tomba de dessous la robe de la mariée.

    En heurtant le sol il se déroula et tout le monde put voir que loin d’être du sopalin, il s’agissait d’une œuvre qu’avait peint Turaleau, le peintre bien connu des amateurs de peinture à l’huile.

    « Gudule Nouaboire, je vous arrête pour vol de toiles de maîtres, nous divorcerons en prison », dit-il alors à sa jeune épouse en lui passant les menottes.

     « Oh ben vut alors, ve fuis refaite, vous v’êtes le plus fort ! »  s’exclama-t-elle en laissant tomber les diverses toiles roulées entreposées dans ses sous-vêtements.

    « Voilà encore une enquête rondement menée » se dit alors le commissaire, celui à qui on ne fait pas croire que l’amour est éternel.

     

    « Aye ame a poor commissaire bien tristounet qui are retourner alone at home », fredonnait notre commissaire dans le soleil couchant esseulé en anglais approximatif (c’est le commissaire qui est esseulé, pas le soleil couchant).

    Car il rentrait toujours chez lui en fredonnant en anglais quand il était esseulé et approximatif (c’est l’anglais qui est approximatif, pas le commissaire).

     

     

    FIN

     


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