•  


    32 commentaires
  • Afin de passer un joyeux réveillon de fin d'année, je vous offre ce petit billet sans prétention, qui vous aidera à acheter la branche de gui indispensable pour vous faire la bise dans les conditions à des couettes et en bon uniforme.

    Pour cela il vous suffit de vous munir d'un cutter avec une bonne lame et de découper votre écran autour du billet.

    NOTE: si vous ne trouvez pas de gui, avec le billet ainsi obtenu vous pouvez toujours essayer d'aller acheter un autre écran...

    EXCELLENTE FIN D'ANNEE LES AMI(ES) ! 

     


    31 commentaires
  • Pour vous détendre après la terrible angoisse provoquée par le suspense insoutenable de l'enquête du célèbre commissaire Nouaboire, voici un post scientifique et marin sur un animal poissonnier bien connu de toutes et tous, du moins pour ceux qui le connaissent...

     

    Blog de lesscorpionsdeouarzazate : Les Scorpions de Ouarzazate, LE COELACANTHE

    Le cœlacanthe, comme l’ornithorynque, est un animal difficile à écrire sans faire de faute d’orthographe. Doit-on en conclure qu’ils font partie de la même famille ? Que nenni, car l’ornithorynque ne colle pas, contrairement au cœlacanthe qui ne colle pas non plus.

    Le coelan… laca… cnathe, appelons-le Jean-Albert  pour plus de simplicité, est un animal aquatique difficile à rencontrer au-dessus de deux mille mètres de profondeur, ce qui réduit considérablement les risques de collision aussi intempestive qu'imprévue.

    Jean-Albert existe.

    Pour s’en assurer, procédons à une expérience scientifique :

    - Prenons un Jean-Albert et pinçons-le. S’il dit : « aïe ça va pas la tête », nous nous sommes trompés de cœlacanthe et avons pincé Jean-Albert Bouju, fils de Madame Jeanne-Germaine Bouju née Jubou, concierge du N° 123 de la rue Tabaga à Vasy-Molo.

    Ce qui bien évidemment, ne donne aucun résultat notable pour notre expérience.

    Arrêtons là l’expérience et observons l’animal :

    - Pour cela nous voyons immédiatement qu’il est nécessaire de savoir nager. Si nous ne savons pas nager il est inutile d’essayer d’observer Jean-Albert .

    - Si nous savons nager, il suffit de retenir son souffle et de descendre à deux mille mètres de profondeur, pour découvrir les ébats primesautiers de ce bel animal.

    La femelle de Jean-Albert est couramment appelée Jeanne-Alberte. Dans le cas contraire, il suffit de l’appeler par son nom de famille, Coelant… latanq… élatanque, mais avec un H quelque part.

    L’union de Jean-Albert et de Jeanne-Alberte donne neuf mois plus tard de beaux petits Jeannot-Alberto ressemblant à s’y méprendre à leur maman et à leur papa, ce dont on se fiche éperdument, même si le pédiatre n’a jamais vu ça, comme lorsque Madame Bouju née Jubou a donné naissance à un fils, nommé Jean-Albert Bouju ressemblant à s’y méprendre à un cœlacanthe.

    La plupart des scientifiques spécialisés dans l’étude des astéroïdes de Jupiter ne connaissent pas le cœlacanthe, mais connaissent bien Jean-Albert, ce qui n’a aucune importance. 

     


    37 commentaires
  • Pour changer un peu de ci et aussi de ça, je vous propose une nouvelle enquête particulièrement angoissante du fameux commissaire Nouaboire, celui qui ne prend pas les vessies pour des lanternes, mais pour des ballons de foot...

     

    ROMAN POLICIER

    Le commissaire Nouaboire entra dans la salle et attacha son cheval au bénitier.

    - Mademoiselle Isabelle Foufoune, voulez-vous épouser Monsieur Aliby Dineux, absent pour le moment pour des raisons familiales, demanda le curé ?

    - OUI.

    - Oh la, oh la ! Intervint le commissaire. Comment pouvez-vous être aussi affirmative sans preuves ?

    - Bfff blllll, blmmm, répondit la jeune mariée occupée à embrasser le curé, qui s’était gentiment proposé à remplacer momentanément le mari absent.

    - Où avez-vous mis votre marié d’abord ? Je vous soupçonne de l’avoir tué afin qu’il soit mort. Pouvez-vous me dire où vous étiez hier soir ?

    - J’ai passé la soirée dans la buanderie, monsieur l’inspecteur, avec mes huit enfants, la femme de ménage et son mari, le facteur et le plombier qui réparait la machine à laver.

    - Avez-vous des témoins ?

    - Heu…

    - J’en étais sûr, aucun alibi.

    - Si si, mon capitaine, c’est lui, c’est mon Aliby.

    - Quel alibi ?

    - Mon mari. C’est Aliby. 

    Le commissaire se gratta la tête, signe d’intense réflexion. Comment peut-elle avoir un alibi sans Aliby, se demandait-il ? Toute cette affaire semblait louche.

    D’ailleurs, la mariée louchait, ce qui ajoutait du beurre dans ses épinards (ceux du commissaire) (il préférait les épinards avec du beurre) (le commissaire).

    - Je vous mets en garde à vue, jusqu’à obtention de vos aveux, dit-il.

    - J’avoue, répondit-elle en rajustant son corsage que le curé avait dégrafé par inadvertance.

    - Ne dis plus rien mon amour, dit alors le curé, c’est moi le coupable.

    - Coupable de quoi ? Intervint le commissaire.

    - D’avoir tué Aliby, car j’aime Isabelle.

    - Donc, elle n’a plus d’alibi ?

    - Non, puisque Aliby est mort.

    - Isabelle Foufoune, je vous arrête pour meurtre dans l’intention de donner la mort, car vous n’avez pas d’alibi.

    - Oh ben zut alors, je suis refaite.

     

    Voilà encore une affaire rondement menée, se dit le commissaire en chevauchant son fier destrier vers le soleil levant, sur le chemin poudroyant de la justice parsemé de fleurettes fleurissantes  et de papillons papillonnants.

    « I am a poor longsome commissaire qui are going home » ajouta-t-il malhabilement, car il ne parlait pas bien anglais.


    26 commentaires
  • Alors voilà, y a quelques beaucoup d'z'années j'avais une ex, avec laquelle on est restés en très bons termes Françoise et moi. Et cette ex a des parents avec lesquels on est aussi en bons termes.

    A cette époque on partait de temps en temps en vacances en Espagne, dans une maison louée pour toute la famille, à Calpe. Mon ex beau-père avait un bateau sur place avec lequel on allait pêcher la friture pour l'apéro.

    Et un jour j'ai fait ce tableau en cadeau de j'sais plus quelle occasion, qui représente le bateau avec le beau-père dedans, et le penön de Calpe derrière. 

    Pour ceux que ça intéresse, c'est peint à l'acrylique sur bois, à une certaine dimension en largeur et une autre en hauteur...

     


    24 commentaires