• Ici on se plaint quand le vent souffle, mais dans le désert quand il souffle y a le sable en plus. C'est le vent de sable et ça peut durer plusieurs jours. Le sable s'infiltre partout, on en a plein les yeux et les oreilles et sur les pistes on n'y voit plus grand chose, c'est comme avec le brouillard.

    Mais faut pas confondre avec la tempête de sable, souvent couplée avec un orage. Là vous voyez arriver un vrai mur de sable et de petits cailloux, qui monte jusqu'aux nuages et qui arrive sur vous à toute allure. Il faut vite trouver un abri car quand ça vous tombe dessus ça fait mal et on n'y voit absolument plus rien ! Et une fois que les nuages ont relâché tout le sable, il pleut de grosses gouttes et ensuite tout se calme...

    On s'est fait prendre trois fois dans des tempêtes de sable, dont deux fois en buggy... et j'peux vous dire que c'est impressionnant ! Mais heureusement ça n'arrive pas souvent, en tout cas beaucoup moins souvent que le vent de sable...

     

     


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  • M'harech, Brahim, Saïd et les autres...

     

    Depuis qu'on est rentrés dans notre France française de chez nous, on pense à nos amis marocains, ceux qu'on rencontrait souvent au gré de nos périples sur les pistes. Et quand on y retournera, on n'oubliera pas d'aller leur faire un petit bonjour...

    En attendant, voilà pour vous un petit rappel de la région de M'harech et de nos amis de là-bas...

     


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  • Vous me connaissez, j'aime avoir des ami(es) instruits. C'est pourquoi je vous propose régulièrement des exposés scientifiques dans lesquels vous pouvez découvrir tout ce que vous ne saviez pas sur nos amis les zanimos.

    Voici donc aujourd'hui l'escargot, un zanimal vif et plein d'entrain avec lequel vous passerez des moments inoubliables...

     

    Blog de lesscorpionsdeouarzazate :Les Scorpions de Ouarzazate, L'ESCARGOT

    L’escargot vit en Bourgogne, c’est pourquoi on l’appelle escargot de Bourgogne.

    Comme la tortue, l’escargot possède une maison sur le dos, appelée coquille. Il partage également ce point commun avec l’œuf. Cependant on ne trouve ni tortue ni escargot durs ou à la coque.

    Procédons à une petite expérience :

    Prenons un escargot de Bourgogne complet, avec ail et persil dans le nez.

    Prenons également une tortue et un œuf. Mettons de l’ail et du persil dans le nez de la tortue et faisons la cuire. On s’aperçoit avec stupéfaction que le goût n’est pas le même que celui de l’escargot !

    Continuons l’expérience et mettons de l’ail et du persil dans le nez de l’œuf. Quelle n’est pas notre surprise de découvrir que l’œuf n’a pas de nez !

    On peut en conclure que malgré de grandes similitudes, l’escargot n’est pas de la même race que la tortue et l’œuf. 

    La femelle de l’escargot est la limace. La limace n’ayant pas de coquille, vient habiter chez l’escargot après leur vol nuptial.

    L’escargot est avantagé par rapport à sa compagne. Comme elle, il n’a pas de pattes, mais il a une coquille. La limace n’a rien. C’est juste un machin mou avec deux yeux au bout, ce qui – reconnaissons-le – n’est pas très attractif.

    L’escargot est beaucoup plus lent que la tortue, mais beaucoup plus rapide que l’œuf et la limace.

    Pour vérifier cela, faisons une autre expérience :

    Prenons une tortue et écrivons N° 1 sur sa carapace.

    Prenons un escargot et écrivons N° 2 sur sa coquille.

    Prenons un œuf et inscrivons N° 3 sur sa coquille.

    Prenons une limace et inscrivons N° 4 sur un écriteau que nous lui planterons dans le dos avec une épingle, puisque elle n’a pas de coquille.

    Mettons-les sur la ligne de départ et observons attentivement ce qu’il se passe :

    La tortue va très vite distancer les autres concurrents et disparaître dans la salade à l’autre bout du jardin.

    L’escargot va avancer comme un escargot et disparaîtra lentement à l’horizon.

    Et, stupéfaction ! La limace et l’œuf restent sur la ligne de départ !

    Que s’est-il passé ?

    Nous avons planté l’épingle dans le sol à travers la limace, ce qui l’a empêchée d’avancer !

    On peut en conclure qu’il vaudrait mieux accrocher l’écriteau sur la limace avec une pince à linge ou un serre-joint. 

    Quant à l'oeuf, les savants intéressés par ça se demandent toujours pourquoi il n'a pas participé à cette course pourtant du plus haut intérêt.

    A la saison des amours, l'escargot invite la limace dans sa coquille pour faire des galipettes particulièrement inavouables, et neuf mois plus tard naît un petit limaçon qui est le portrait craché de son papa, en plus petit.

    La petite famille s'en va ensuite gambader joyeusement sur les chemins poudrissants pour rejoindre les prés verdoyants aux fleurettes fleurissantes qu'ils brouteront en coeur en chantonnant la fameuse chanson de l'escargot qui broute, bien connue des escargots qui broutent.

     


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  • Nous voilà donc arrivés à Mont-Louis - Cabanasse. A la descente du train, on se retrouve à pieds et on se dit que si on veut trouver un endroit pour bouffer, ça doit être par là. Ou alors par ici. Y a des gens avec des sacs à dos qui ont l'air de savoir où ils vont, alors on les suit...

    Et on finit par arriver au village de Mont-Louis, où qu'y a un grand établissement hôtel-resto pour les bus et surtout pour les gens qui sont dedans (les bus). Y a plein de monde, mais on nous met une table, on boit l'apéro et on mange. J'ai pas de photos de ce grand moment gastronomique, car on n'a pas jugé vraiment intéressant d'en prendre.

    N'ensuite nous décidons de profiter qu'on est là pour visiter le fort Vauban, qui est là lui aussi. J'vais pas vous raconter son histoire, mais si vous voulez tout savoir, c'est LA

    Et voilà-t-y pas que pendant notre visite de la citadelle, l'orage a commencé à se pointer en douce. Nous décidons sagement de retourner z'à la gare, d'une part pour pas louper le train du retour et d'autre part pour y arriver (à la gare) avant l'orage.

    Nous montâmes donc dans le train sous la pluie et la grêle, ce qui nous permit de constater que la peinture jaune résistait bien à l'eau.

     

    Le train jaune (suite)


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  • Nos amis étant toujours là, nous décidâmes de faire le train jaune (en réalité on n'a pas fait le train, on est juste montés dedans). C'est un train qui a la particularité d'être jaune et de rouler sur des rails. Et pourquoi donc, me demanderez-vous z'étonnés, vous avez eu envie de faire du train ? Parce que on nous a dit qu'il grimpe dans la montagne et que les paysages sont très montagneux, avec des ponts et des tunnels, tout ça...

    Donc on a démarré de la gare bien connue de Villefranche de Conflent et on est descendus à Mont Louis - Cabanasse. C'est pas tout à fait le terminus, mais là y a des restos où on peut déjeuner si on veut. Et nous on voulait.

    Donc, voilà la montée dans les altitudes, en photos (et en train surtout):

     


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