• En descendant vers le sud, on arrive au parc national du delta du Saloum. On y voit quelques "promène-couillons" remplis de touristes, mais de notre côté nous avons préféré visiter les mangroves et les petites îles en petit comité... nous voici tous les trois, Françoise, Pap et moi, dans une grande barque avec chauffeur, qui va nous faire découvrir des lieux où les touristes vont rarement.

    Et c'est ça qu'on aime ! Même si l'hélice de notre bateau nous a abandonnés pour aller dire un p'tit bonjour aux poissons, le temps que notre hardi capitaine plonge pour la retrouver et la refixer... avec un clou !

     

     


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  • Blog de lesscorpionsdeouarzazate :Les Scorpions de Ouarzazate, L’ORNITHORYNQUE

    L’ornithorynque est flou.

    Du moins sa photo ci-dessus. Car l’ornithorynque est un animal flou, dont les photos sont floues.

    C’est un mammifère batracien avec un bec de canard et une queue de castor, qui pond des œufs.

    C’est donc un zanimo d’origine floue et incontrôlée.

    Les scientifiques pensent que c’est le résultat d’un croisement entre Daisy la cane et Hector le petit castor, un soir de beuverie à la fête des Amis Philosophes des Zanimos qui en pondent (di zofs).

    L’ornithorynque a un bec.

    C’est rare pour un mammifère à part l’homme, qui c’est bien connu devrait souvent fermer son bec.

    C’est ridicule comme phrase, mais pas plus que l’ornithorynque, qui a un nom à coucher dehors plutôt que d’essayer de l’écrire sans alerter immédiatement le correcteur d’ornithographe.

    Appelons-le Albert.

    En effet, on peut se rendre compte que c’est beaucoup plus facile et rapide à écrire.

    Albert a des pattes palmées.

    C’est normal pour un canard, mais pas pour un castor, qui serait parfaitement anormal avec un bec de canard.

    Or, Albert n’est ni un canard ni un castor, mais a quand même des pattes palmées.

    C’est étrange.

     


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  • Et voilà-t-y pas que nos premières pérégrinations dans le Sénégal sénégalais nous firent rencontrer deux personnes, avec qui nous sympathisâmes z'immédiatement... lui s'appelait Pap et elle Françoise. Je me retrouvai donc avec deux Françoises, une blonde et une noire !

    Grâce à eux, nous aurons par la suite l'occasion de visiter le pays un peu "en profondeur", en passant plus de temps avec les z'autochtones qu'avec des touristes...

     


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  • Dans la catégorie "création d'anciennes rubriques nouvelles", je vous emmène faire un tour au Sénégal, si vous le voulez bien (si voulvoul pas, tournez la page). 

    L'histoire se situe en 1991, faudra donc pas vous étonner si vous nous voyez jeunes, beaux et dynamiques, Françoise et moi... par contre, j'me suis laissé dire que depuis cette époque, le Sénégal est toujours au même endroit, ce qui vous permettra de mieux situer la chose.

    On commence par notre arrivée à Saly, l'installation à l'hôtel et la balade en ville comme il se doit. Une fête de baptême bat son plein dans la rue et nous voilà tout-à-coup invités dans la famille. Au bout de cinq minutes, Françoise se retrouve avec le bébé dans les bras... pendant que la mère est partie en ville faire une visite !

     


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  • Zagora, fin

     

    Et voilà, notre belle balade se termine. Après le picnic de rigueur sous un acacia providentiel qui passait par là, nous rejoignons Imin Ouassif et la piste de Zagora en cours de goudronnage. 

    "Mais pourquoi tu nous dis que la piste est en cours de goudronnage?" me demanderez-vous z'étonnés ?

    Sur quoi j'vous répondrai: "c'est parce qu'ils sont en train de la goudronner".

    Après cette importante précision, nous passâtes à Zagora, puis nous rentrâtes z'à Ouarzazate. Voilà.

     


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